A propos de nous

L’Union internationale de la presse

francophone

L’Union Internationale de la Presse Francophone (UPF) est la plus ancienne association francophone de journalistes reconnue par les organisations internationales (ONU, UNESCO, ACCT…).

HISTOIRE

Particularité de l’UPF : Créer sa mission autour de la notion de francophonie

L’Union internationale de la Presse francophone (UPF) est la plus ancienne association francophone de journalistes reconnue par les organisations internationales (ONU, UNESCO, ACCT…). Sa création précède celle de la Conférence des ministres de l’Education nationale des pays francophones qui est la première institution officielle francophone connue.

L’UPF est née le 13 mai 1950, sous l’appellation d’origine d’Association internationale des journalistes de langue française (AIJLF), d’une initiative franco-canadienne. Le temps d’une rencontre, des journalistes français et canadiens lancent et concrétisent le projet. L’UPF voit le jour et fait adopter son acte de création par le congrès des syndicats national des journalistes français (SNJ) qui se réunissait à Limoges. C’est l’année même où le SNJ revendiquait un affranchissement de l’emprise syndicale – du moins celle de la CGT à laquelle il était affilié au-lendemain de la guerre mondiale – et multipliait les initiatives en direction d’une réorganisation autonome de la profession. C’est également la même année de la création de l’UPF que le SNJ lançait le projet d’institution d’un « Conseil supérieur des journalistes ».

L’Union internationale de la presse francophone s’est dès lors employée à développer ses relations dans le monde. L’action de l’ONG, qui prend de prime à bord une dimension internationale, part à la base d’une collaboration entre un noyau de journalistes canadiens invités au congrès du SNJ et leurs hôtes français pour s’étendre à des collègues belges puis suisses avant d’étendre le réseau à l’Afrique et au reste du monde francophone.

La particularité de l’UPF est de créer sa mission autour de la notion de francophonie. Elle est de ce fait le précurseur d’un mouvement, d’abord associatif, qui s’institutionnalise vingt ans plus tard par la création, en 1970 à Niamey, au Niger, du « premier organisme inter-gouvernemental de la Francophonie » (Agence de coopération culturelle et technique (ACCT)). La deuxième association à voir le jour, en 1961, sous label francophone est l’Association des universités partiellement ou entièrement de langue française (AUPELF). Et ce n’est qu’en 1986 à Versailles qu’une conférence des chefs d’Etats allait donner lieu au lancement du cadre institutionnalisé qui deviendra plus tard un sommet, réuni tous les deux ans sous l’égide d’une organisation créée à cet effet (OIF).

L’Union internationale de la Presse francophone est une organisation internationale non-gouvernementale (OING) reconnue par de grandes organisations internationales, telles l’ONU, l’UNESCO et l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). Depuis le 22 novembre 2014, elle est présidée par Madiambal Diagne (Sénégal). Sa secrétaire générale internationale est Zara Nazarian, élue à ce poste par le comité international qui s’est réuni en octobre 2018 à Tsaghkadzor (Arménie).

L’UPF internationale regroupe un large réseau de journalistes, responsables et éditeurs de la presse écrite et audiovisuelle. Ils sont répartis dans 110 pays ou régions du monde.

Défendre

DEFENDRE et développer la liberté de la presse et des journalistes

Favoriser

Favoriser

FAVORISER à l’échelle internationale, les relations entre publications, stations de radiodiffusion ou de télévision, sites internet et toute autre technique de diffusion dont le français est la langue de communication

Contribuer

CONTRIBUER au développement de la formation et à la promotion de jeunes journalistes au sein des médias francophones

Resserer

RESSERER les liens entre éditeurs, directeurs, journalistes et professionnels de la presse et des médias

Promouvoir

PROMOUVOIR la culture et les médias francophones

Aider

AIDER au développement des médias numériques d’information

Encourager

ENCOURAGER les sections locales du réseau UPF à s’organiser et à agir pour, la défense de la liberté de presse, la promotion et le développement des médias dans leurs régions respectives.

Valoriser

VALORISER à l’échelle internationale, les relations entre publications, stations de radiodiffusion ou de télévision, sites internet et toute autre technique de diffusion dont le français est la langue de communication

Histoire de l’UPF

L’UPF est l’expression d’une volonté des journalistes ayant le français en partage, d’incarner des valeurs communes d’éthique, de déontologie, de respect de la diversité, de confraternité pour une presse crédible. L’UPF repose sur une longue tradition associative bâtie depuis les années 1950.

L’Union Internationale de la Presse Francophone (UPF) est la plus ancienne association francophone de journalistes reconnue par les organisations internationales (ONU, UNESCO, ACCT…).

Sa création précède celle de la de la Conférence des ministres de l’Education nationale des pays francophones qui est la première institution officielle francophone connue. Elle est née le 13 mai 1950, sous l’appellation d’origine d’Association internationale des journalistes de langue française (AIJLF), d’une initiative franco-canadienne.
Le temps d’une rencontre, des journalistes français et canadiens lancent et concrétisent le projet.

L’UPF voit le jour et fait adopter son acte de création par le congrès des syndicats national des journalistes français (SNJ) qui se réunissait à Limoges. C’est l’année même où le SNJ revendiquait un affranchissement de l’emprise syndicale – du moins celle de la CGT à laquelle il était affilié au-lendemain de la guerre mondiale – et multipliait les initiatives en direction d’une réorganisation autonome de la profession.

C’est également la même année de la création de l’UPF que le SNJ lançait le projet d’institution d’un « Conseil supérieur des journalistes ».

L’Union internationale de la presse francophone s’est dès lors employée à développer ses relations dans le monde. L’action de l’ONG, qui prend de prime à bord une dimension internationale,

 

 

part à la base d’une collaboration entre un noyau de journalistes canadiens invités au congrès du SNJ et leurs hôtes français pour s’étendre à des collègues belges puis suisses avant d’étendre le réseau à l’Afrique et au reste du monde francophone.

La particularité de l’UPF est de créer sa mission autour de la notion de francophonie. Elle est de ce fait le précurseur d’un mouvement, d’abord associatif, qui s’institutionnalise vingt ans plus tard par la création, en 1970 à Niamey au Niger du « premier organisme inter-gouvernemental de la Francophonie », (l’Agence de coopération culturelle et technique (ACCT)).

La deuxième association à voir le jour, en 1961, sous label francophone est l’Association des universités partiellement ou entièrement de langue française (AUPELF). Et ce n’est qu’en 1986 à Versailles qu’une conférence des chefs d’Etats allait donner lieu au lancement du cadre institutionnalisé qui deviendra plus tard un sommet, réuni tous les deux ans sous l’égide d’une organisation créée à cet effet (OIF).

L’Union internationale de la presse francophone est une organisation internationale non-gouvernementale (OING) reconnue par de grandes organisations internationales, telles l’ONU, l’UNESCO et l’Organisation internationale de la francophonie (OIF).
Depuis le 22 novembre 2014, elle est présidée par Madiambal Diagne (Sénégal).

Sa secrétaire générale internationale est  Zara NAZARIAN, reconduit au poste par le comité international qui s’est réuni en novembre 2014 à Dakar. L’UPF regroupe plus de 3000 journalistes, responsables et éditeurs de la presse écrite et audiovisuelle. Ils sont répartis dans 110 pays ou régions du monde.
Elle remet le Prix de la libre expression.

 

 

 

Nous allons entamer bientôt une série de rencontres avec les autorités et les partenaires. Nous devons renouer le contact et construire ou reconstruire de nouveaux projets. Il est question de maintenir le Cap. Continuer de travailler. Après tout, nous sommes héritière d’un dynamisme et d’une grande ambition. Nous ne nous positionnons pas en concurrent de nos prédécesseurs. Si on peut se permettre l’analogie avec le Christ : nous ne sommes pas venus abolir, mais accomplir !

– Evelyne Owona Essomba, Présidente de l’UPF Cameroun

Le Choix du Cameroun, 10 ans après la dernière édition en terre camerounaise, confirme toute la confiance accordée au Gouvernement camerounais. Il témoigne surtout de la reconnaissance du dynamisme de l’équipe UPF Cameroun et marque l’engagement de l’UPF pour le développement d’une presse libre au cœur de Afrique que le Cameroun cristallise en terme de diversité.

– Madiambal Diagne, Président International de l’UPF

Il faut aussi que la presse remplisse sa fonction miroir. Le lecteur d’un journal, le téléspectateur, l’auditeur veut qu’on lui parle de lui. Le citoyen veut retrouver dans nos journaux le reflet de sa vie, de ses préoccupations, ce faisant la presse remplit bien sa fonction et se fait l’écho du sociologue Alfred Sauvy qui disait écrivait, « bien informés, nous sommes des citoyens, mal informés nous sommes simplement des sujets ».

– Aimé Robert Biyina, ancien président de l’UPF Cameroun

« L’UPF Cameroun est ouverte à tous les professionnels qui ont à cœur de promouvoir une presse crédible et responsable »