Assises de l’UPF : le digital a la côte

Dans le cadre des 48èmes assises de l’Union internationale de la presse francophone (upf), Les étudiants de la 48ème promotion en journalisme de l’École supérieure des sciences et techniques de l’information et de la communication (Esstic) ont été affectés dans des rédactions. A la rédaction web par exemple, tout ne semble pas bien aller.

Entre retard, paresse et manque d’initiative des étudiants, les encadreurs sont dépassés. La rédaction web des assises n’ayant pas de siège, elle a opté pour un travail dans le numérique c’est dire que le téléphone est le principal outil de travail de chacun des membres de cette rédaction. Le forum WhatsApp créé par Jeanne Ngo Nlend se veut être le principal lieu d’échanges des : discussions, des articles, des reproches et même des intrigues.

Plusieurs fois rappelés à plus de sérieux, les étudiants de cette rédaction semblent ne pas connaître ce que l’on attend d’eux. Cela peut se voir par les réactions de l’encadreur qui de temps en temps ne rate pas l’occasion de les remettre au pas.

Pourtant, ces journalistes en herbes pensent se donner à fond. Ceci même si le le rendu ne le démontre pas.

« Relisez-vous et faites-vous lire »

Ce sont les consignes qui sont sans cesse données par la coordinatrice. C’est en ce moment là que beaucoup essaient de rattraper les erreurs. A la redaction Web, les élèves journalistes ont souvent des difficultés pour rendre leur article  dans les temps. Ce qui entraîne d’une manière ou d’une autre le retard dont se plein l’encadreur chaque jour. Mais la bonne humeur et l’envie de travailler demeurent.

Au-delà de la rédaction web

Comme dans le web, les autres étudiants alimentent pour certains le magazine TV, pour d’autres ils enrichissent au jour le jour « Le quotidien des assises » et d’aucuns retransmettent en direct de la FM 94 les assises.

Dans l’ensemble tout se passe bien. Mais dans chacune des rédactions les journalistes en éclosion rencontrent des difficultés. Malgré celles-ci, les médias restent alimentés au quotidien. Encore deux jours de travail et les 48èmes assises fermeront leurs portes.

Aimée Laéticia FOUDA